90 ans de crimes
90 ans de mensonges
90 ans de meurtres
90 de violation des droit de l'homme
90 ans de trahison de la France
90 ans de dérives fanatiques
1939 l'allié des nazis
En septembre 1939 , le Parti communiste français approuve la signature du pacte germano-soviétique : l'accord entre l'Allemagne nazie et l'URSS qui établit un pacte de non-agression entre les deux pays et organise le partage de la Pologne . Daladier impose la mise hors la loi du PC.
La désertion de Maurice Torez
Il s'en suivra une scission au sein des élus du parti et une période de clandestinité : l'essentiel de la direction du parti est alors regroupée en Belgique , et, sur un ordre de Dimitrov , Maurice Thorez déserte et rejoint Moscou.
La collaboration active avec le Nazisme
Suivant les consignes du Parti, « Une heure de moins pour la production, c'est une heure de plus pour la révolution », certains militants commettent des sabotages dans les usines d'armements françaises pendant la Drôle de guerre . À noter également que certains appelés refusent de combattre les Allemands lors de la campagne de France.
L'ovation de la presse communiste aux envahisseurs
La clandestinité sera brièvement interrompue durant l'été 1940, pour demander en vain, via l'avocat communiste Robert Foissin , membre de la défunte Association juridique internationale (AJI), l'autorisation de faire reparaître légalement L'Humanité aux autorités allemandes qu'il obtiendra
Une partie des élus du PC fonde le Parti ouvrier et paysan français (POPF)
Le Parti ouvrier et paysan français était composé d'anciens élus du Parti communiste français opposés au pacte germano-soviétique de septembre 1939
Le POPF a été créé en février 1941 par les parlementaires du "Groupe Ouvrier et paysan" façade du parti depuis son interdiction de 1939. Le POPF était dirigé par Marcel Gitton , ancien numéro trois du Parti communiste et par un comité central de 20 membres, presque tous parlementaires et élus municipaux de la région parisienne venant du PCF. Le POPF a ainsi compté 16 parlementaires PCF de 1936 sur 76, soit un sur cinq.
Marcel Gitton (Marcel Giroux de son vrai nom) (membre du bureau politique du PCF (1932), secrétaire national, abattu par les communiste en 1941
Le parti communiste na rien d'un parti d'ouvrier, le parti communiste n'a rien d'un parti voulant oeuvrer pour les ouvrier
Toute au long de son histoire, son arrogance, ses positions anti-Française, ces soutients au plus grands criminels de guerre et aux crimes contre l'humanité, font du PCF un rassemblement de menteurs et de tricheurs pour soutenir ceux qui ont bafoué et bafouent encore aujourd'hui la liberté des peuples
Les admirateurs de Mao, Lénine, Staline, Kroutchef, Brejnev et autres partisans de la répression des peuples sont des femmes et des hommes dangereux
Demain ces dangereux personnages trahiront la France et les idéaux de liberté de tous les peuples
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