jeudi 2 décembre 2010

Berlusconi; WikiLeaks et la moralité américaine


Un président du Conseil, qui, à Washington, inspire une "profonde défiance". Un homme "incapable, vaniteux", un leader européen "inefficace", "faible à la fois physiquement et politiquement", qui, le jour, se présente exsangue et las après s’être livré des nuits entières à des fêtes débridées [wild parties], des orgies et des festins. (info courrier international)

Ne ne serait plus beau que les USA, dont la diplomatie est dirigée par la première cocue du monde, fasse silence sur la moralité des autres

WikiLeaks vous avez dit ceux qui nous racontent les petits coups bas de la politiques des pays

Madame Clinton aurait mieux fait de retenir son mari que de le laisser "s'envoyer en l'air" avec sa secrétaire
Ce qui nous vient d'Amérique n'est pas bon, surtout lorsqu'il s'agit d'une administration démocrate

Rossevelt, Kennedy, Clinton,
sont peut être ceux qui ont donné une éducation à Berlusconi

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