vendredi 2 avril 2010

Tremblay - La presse et les médias sont-ils responsbles de la violence des banlieues

Il est un fait indéniable si voulez être remarqué et faire la une de la presse ou des médias il vous suffit de commettre un méfait
La presse a besoin de remplir les pages de ses journaux, les médias au service du pouvoir politique en place ont besoin de détourner l'attention par le sensationel
http://tempsreel.nouvelobs.com/dossier/medias-pouvoirs/20100330.OBS1577/quand-melenchon-insulte-un-etudiant-en-journalisme.html
Parler du mal dans les cités c'est oublier le bien qui se passe tous les jours dans les mêmes cités
La une pour les voyoux l'oubli pour le sportif, l'oubli pour celui qui porte le sac de la dame agée, l'oubli pour le bon élève et ...
Allez dans les cités et vous verez ce que la presse et les médias vous cachent
La presse, du moins ce qu'il en reste, prise à mal par les informations diffusés sur internet, est aux abois des forfaits et scandales, mais rien ne va plus
En articulant les unes autour du sensationnel, la presse diffuse trop souvent des titres insidueux que le lecteur a du mal à comprendre, car la surnoiserie amblématique de ces unes ne durent que pour ceux qui ne lisent que les gros titres
La violence des banlieues n'est autre que le résultats de la politique économique et social du gouvernement
Brice Hoterfeux à l'image de son patron (Sarkozy) déraille, un Ministre d la République doit savoir tenir son langage
Le langage déplacé du Ministre de l'intérieur doit aller ailleurs
S'il veut combattre la violence il lui faut d'abord combattre les trafiquants de drogue
La fermeté sur le trafic de drogue doit etre sans faille, encore faudrait-il pour cela que cette fermeté s'applique à tous, et notemment aux consommateurs sans exeption y compris parmis les artistes, les sportifs de haut nivaux, les politique et le Show-Business
Comment peut-on dire à un jeune de s'abstenir de drogue alors que dans les allées du plus haut pouvoir de l'état des présomptions graves subsistent

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