dimanche 26 juin 2011

Il faut s'y résoudre définitivement. Abdoulaye Wade n'atteindra jamais les cimes de l'Histoire. C'est et ce sera un rendez-vous manqué avec les cieux, la gloire et la grandeur. Le preux opposant, le prophète du changement, le combattant de la démocratie est devenu, au contact du pouvoir, un chef africain ordinaire et débonnaire. Il aura sa statue aux côtés des Gnassimbé Eyadema du Togo, Mobutu Sésséko du Zaïre [devenu République démocratique du Congo] et Laurent Gbagbo, le sinistre boulanger d'Abidjan.(info courrier intenational)

Wade continue à dérailler et ce n'est pas d'aujourd'hui, au moment des fêtes de l'indépendance des pays Africains, celui-ci déclarait bien haut et fort

"La France a conclu l’indépendance avec des personnalités politiques contestées qu’elle n’a pas poussées à organiser des élections libres et démocratiques.

C'est homme devient dangereux, il est nécessaire que la France s'en mêle avant que la situation ne dégénère
Le sang ne doit absolument pas couler


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