jeudi 8 juillet 2010

Sarkozy: Flagrant délit de mensonge

"Ce que dit le Nouvel Obsavateur: Mensonges", "calomnies", "cabale", "méthodes fascistes" : aucun terme n'a été jugé trop fort par l'UMP, qui s'est employé à une violente contre-attaque contre le site d'information et les socialistes.
Drôle de la part de Xavier Bertrand: voyons ce qu'en pense François Fillon
12 mars 2009 ... Les francs-maçons de Sarkozy, retrouvez l'actualité Politique sur Le Point. ... le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant. ...
Puis l’on apprend que Xavier Bertrand est membre du Grand Orient, ce qui suscitera, dit-on, ce bon mot de François Fillon : « Je ne suis pas étonné de le découvrir maçon ; mais franc, cela m’en bouche un coin... »

Un gouvernement de menteurs qui s'accordent pour décrier une agence de presse (Médiapart) à qui la justice vient de donner raison en la laissant libre de diffuser les enregistrements clandestins
Un gouvernement de menteurs qui s'accordent pour masquer les affaires troublantes du financement de l'UMP
Une Présidence bling bling dépensière qui maintenant veux nous faire croire aux valeurs et aux vertus de la bonne gestion économique
Une Présidence de la République qui pour masquer la démission de deux Ministres de la République a voulu nous faire croire qu'il s'agissait d'une initiative de Nicolas Sarkozy
Hors cette affirmation est maintenant réfutée, le flagrant délit de tricheur menteur n'est plus un secret de polichinelle mais une réalité bien sombre pour la France
Sarkozy coupable
5 juil. 2010 ... Sarkozy coupable; Les feux de la Saint Jean sont terminés, ceux de la dérive de la communication sont plus que jamais allumer de honte ...
 
Aujourd'hui il reste sans aucun doute une alternative pour cacher les menteurs, les profiteurs et autres baladins : Mettre en place une loi d'auto-amnistie en demandant au parti socialiste comment procéder

En 1990, l'article 19 de la loi sur la « clarification du financement des activités politiques » amnistie les auteurs de détournements de fond au profit de partis politiques. Les partis de droite de l'époque, le RPR et l'UDF, alors dans l'opposition, dénoncent une mesure destinée selon eux à protéger les dirigeants du Parti socialiste

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire